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25.02.2024
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+300% : La (cyber)sécurité, rentable et en pleine expansion
Thématique
d'investissement incontournable, la sécurité et son segment de la
cybersécurité sont en pleine expansion. Avec une croissance annuelle de
15% à moyen terme, le marché se développe rapidement, comme les menaces
toujours plus nombreuses en cette période de graves tensions
géopolitiques... Découvrez une solution d’investissement qui a généré
un rendement de plus de 300%* depuis sa création.
Une thématique en pleine expansion
Un piratage informatique a lieu toutes les 39 secondes
et 3,8 millions de documents sont volés chaque jour. La digitalisation
croissante de la société a ouvert la voie à une multitude de nouveaux
risques en matière de cybersécurité. Cette réalité suscite un vif
intérêt chez les investisseurs, qui voient dans ce secteur un fort
potentiel de croissance.
Et pour cause, près des deux tiers des entreprises envisagent
d'accroître leurs investissements dans la cybersécurité cette année.
L'essor du télétravail et la multiplication des objets connectés ont
considérablement élargi la surface d'attaque, stimulant la croissance
du marché à un taux annuel compris entre 15% et 20% depuis 2020, avec une perspective de maintien autour de 13% jusqu'en 2029.
L’augmentation des investissements est également motivée par des réglementations de plus en plus strictes
qui obligent les entreprises à divulguer de manière plus transparente
leurs failles de sécurité. Parallèlement, l'intelligence artificielle
émerge comme un outil à double tranchant dans la lutte contre les
cyberattaques.
Alors qu'elle offre des opportunités pour renforcer la détection et la
réponse aux attaques, elle présente également de nouveaux défis. L'IA
facilite en effet la création de logiciels malveillants, plus
sophistiqués et personnalisés, et elle peut être exploitée pour
contourner les défenses traditionnelles. Elle permet toutefois d'atténuer la pénurie d’experts en cybersécurité : il en manquerait aujourd’hui 3 à 4 millions, au niveau mondial.
En plus des entreprises, les infrastructures critiques et les services
publics sont aussi l’objet de cyberattaques. C’est d’autant plus vrai
en cette période de graves troubles géopolitiques
et de guerre sur le Vieux Continent… Au plus fort du Covid, une
recrudescence de cyberattaques ciblait les hôpitaux pour paralyser
leurs systèmes informatiques, notamment en France. Les pirates exigent
alors des rançons pour débloquer les systèmes. On se souvient également
de l’attaque colossale contre Colonial Pipeline en mai 2021 qui a perturbé pendant plusieurs jours la distribution de carburant aux États-Unis.
Outre la cybersécurité, le sentiment de sécurité est un besoin fondamental de l’être humain.
Les équipements de contrôle, les tests alimentaires, la surveillance
des infrastructures, veiller à la sécurité alimentaire, se prémunir de
cyberattaques et du risque terroriste… la palette d’opportunités est
très diversifiée et les sociétés en mesure de répondre à ces enjeux
recèlent aujourd’hui, pour les investisseurs, un potentiel majeur.
Parmi les nombreux exemples concrets, celui de l’urbanisation. Au
niveau mondial, plus de trois millions de personnes migrent chaque
semaine vers des zones urbaines. Les besoins sont donc colossaux.
Selon l’IFSEC International, un salon annuel sur la thématique de la
sécurité, environ 3 000 milliards de dollars devraient être investis
dans des projets de villes intelligentes chaque année. 14% de ces
dépenses (soit 420 milliards) seraient consacrés à la sécurité.
Si l’urbanisation est croissante, on ne peut pas en dire autant des
mesures mises en œuvre par les pouvoirs publics. Elles sont globalement
jugées comme insatisfaisantes, créant autant de débouchés pour les
sociétés privées. Clairement, la thématique d’investissement de la
sécurité, et son segment de la cybersécurité, ont un potentiel important en Bourse sur le moyen et le long terme.
Comment sélectionner les meilleurs titres ? Ils sont avant tout
américains, comme Palo Alto Networks, un géant du secteur dirigé par un
ancien de Google et qui a atteint en début d'année son objectif :
devenir le premier leader de la cybersécurité à valoir plus de 100 milliards de dollars.
Dans la suite de cet article, nous vous présentons un fonds d’investissement suisse. Accessible à tous, c’est un incontournable pour investir facilement et à moindres frais sur la thématique de la sécurité.
La solution suisse incontournable
Le fonds Pictet-Security (LU0270904781) a été créé en en octobre 2006. Comme son nom l’indique, ce fonds du groupe suisse de gestion de fortune Pictet
est dédié au secteur de la sécurité, au sens large. Depuis sa création,
il a généré un rendement de plus de 300%*. Fin janvier, près de 42% de son allocation ciblait la cybersécurité :
La quasi-totalité des actions en portefeuille sont américaines.
Dans les premières lignes de l'allocation, on retrouve des mastodontes
des secteurs de la sécurité, relativement méconnus du grand public :
Palo Alto Networks, Kla, CrowdStrike, Equinix ou encore Thermo Fisher
Scientific.
Le fonds Pictet-Security affiche un excellent couple rendement / risque depuis de nombreuses années.
Dans le détail, voici ses performances sur les principaux horizons d’investissement, à la clôture du 16 février :
+167,03%* en cumulé sur 10 ans
+53,11%* sur 5 ans
+6,26%* sur 3 ans
+16,42%* sur 1 an (+16,68%* en 2023)
+8,24%* depuis le 1er janvier 2024
Source : Quantalys
Depuis sa création fin 2006, le fonds (en bleu ci-dessous) surperforme nettement sa catégorie d’investissement (les actions mondiales, en orange).
Source : Quantalys
En plus de ses excellentes performances historiques, sa volatilité
n’est pas excessive pour un support en grande partie composé de valeurs
technologiques : 16,5% sur un an et 18,5% trois ans. En conséquence, MorningStar estime que le son risque est moyen sur tous les horizons d’investissement, par rapport à sa catégorie d’investissement.
* Les performances passées ne
préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans
le temps. L'investissement en actions, obligations ou OPCVM présente un
risque de perte en capital important, et doit s’envisager dans une
optique long terme, en représentant une petite partie d’un patrimoine
global. Contrairement au fonds en euros, la valeur de ces supports, qui
reflète la valeur d’actifs sous-jacents, n’est pas garantie mais est
sujette à des fluctuations à la hausse ou à la baisse, dépendant en
particulier de l’évolution des marchés financiers.
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