Je m'abonne   J'abonne un(e) ami(e)   Contact
  
             Petit Délire d'Actu          
      
                                                        
 

                                                                                                                                                                          
   voici votre Newsletter du Matin
          
01.04.2024
                                                                                                     Vous êtes avec PDdA. 


Placement : Tout le monde peut investir dans le luxe !



Cassons une idée reçue : investir dans le luxe, c’est cher. Beaucoup le pensent en voyant le prix d’une action Hermès (2 365€) ou LVMH (835€). Elles donnent le tournis aux investisseurs, avec des performances respectives de 300% et 150% sur cinq ans (contre 50% pour le CAC 40). Aujourd’hui, nous vous présentons notre solution pour capter la croissance du secteur du luxe. Une solution accessible au plus grand nombre.

Le luxe en 2024



En 2024, la croissance du secteur devrait être comprise entre 2% et 4%. Une croissance modérée, principalement portée par les États-Unis, la Chine et le Japon, pour un chiffre d’affaires global de 305 milliards d’euros. Fait nouveau, le marché d’occasion monte en flèche et devrait représenter 20% des revenus du secteur à horizon 2030. Et pour cause, même dans le luxe, la responsabilité sociale des entreprises devient un enjeu, avec un intérêt croissant pour le marché de la seconde main et des initiatives de développement durable.

Le luxe s’est réinventé ces dernières années. Sa transformation digitale joue un rôle central, 20% des ventes seront réalisées en ligne dans les prochains mois. Les marques investissent dans des expériences en ligne personnalisées et des interactions via des plateformes de messagerie. Les événements diffusés en direct sur internet gagnent en popularité, surtout en Chine, tandis que la réalité virtuelle et le metaverse demeurent plus confidentiels pour l’heure mais offrent de nouvelles possibilités d'engagement avec les consommateurs. Le luxe se réinvente et s'aligne sur de nouvelles tendances pour attirer une clientèle plus jeune et connectée.

Les nouvelles générations de clients imposent des standards différents à l'industrie du luxe, entraînant des ajustements dans les stratégies des entreprises. Bien que le ralentissement des ventes soit perçu comme conjoncturel et temporaire, les fleurons du luxe doivent rester attentifs à la qualité de leur marque pour maintenir leur pouvoir très élevé de tarification (le fameux “pricing power”). En dépit de catalyseurs majeurs à court terme, plusieurs gestionnaires de fonds ont récemment annoncé leur intention de renforcer leurs positions sur des leaders du secteur.

Tout n’est pas rose pour autant ! L’avertissement sur résultat de Kering a pesé sur les actions du luxe ces deux dernières semaines. Au premier trimestre, une baisse d’environ 10% de son chiffre d'affaires est anticipée. Gucci, qui représente la moitié du chiffre d'affaires de Kering et près de 70% de ses bénéfices, a vu ses ventes chuter de 20% sur un an, avec un recul particulièrement prononcé en Asie-Pacifique. La marque peine à renouveler l'intérêt des consommateurs, malgré l'arrivée de nouvelles collections.

La concurrence est rude… Surtout avec des concurrents comme LVMH et Hermès, ce qui oblige Kering à investir davantage dans le marketing et la communication, affectant ses marges opérationnelles. La valorisation en Bourse de Kering est faible par rapport à ses pairs, ce qui complique par ailleurs les projets de fusion et acquisition. Cependant, son potentiel de croissance en Chine offre une source d’espoir bienvenue à ses actionnaires.

L’annonce de Kering a mis un coup d’arrêt à la hausse du luxe français en Bourse. Pour l’investisseur particulier, qui croît dans les perspectives du luxe sur le moyen et le long terme, c’est une opportunité. Malheureusement, certaines actions paraissent hors de portée, en particulier quand on est attaché à la stratégie des versements programmés pour capter le plein potentiel des marchés boursiers.

Elle consiste à investir régulièrement la même somme d’argent, par exemple tous les mois, pour lisser sur le long terme ses points d’entrée. On achète lorsque la Bourse est haute, comme aujourd’hui, mais aussi lorsqu’elle est basse, par exemple après le krach boursier du Covid. C’est une stratégie simple et qui a largement fait ses preuves en Bourse.

Mais comment l’appliquer raisonnablement sur le secteur du luxe ? La solution que nous vous présentons dans cet article est accessible dès 50€. L’assurance-vie, l’enveloppe idéale pour optimiser la fiscalité et diversifier votre épargne.

Une solution exceptionnelle



Le fonds Actions Luxe (FR0000988503) de Société Générale a été créé en octobre 2002. On s’est amusé à faire un calcul simple. Pour acheter une seule action des dix premières lignes en portefeuille, il faudrait mobiliser près de 5 000€. Copieux versement programmé !

Une part de ce fonds coute un peu plus de 700€. Toutefois, il est possible d'investir dessus dès 50€, comme sur les centaines de supports actions éligibles à l’assurance-vie. Les versements programmés sont également possibles dès 50€ par mois.

Depuis sa création, le fonds de Société Générale a généré un rendement de plus de 620%*. Ses cibles en portefeuille sont à plus de 30% américaines, à 25% françaises et à 21% suisses et italiennes. Les trois plus importantes représentent près de 30% de l’allocation totale : LVMH, Richemont, Hermès.

Le fonds affiche un très bon couple rendement / risque depuis de nombreuses années.

Dans le détail, voici ses performances sur les principaux horizons d’investissement, à la clôture du 27 mars :

+129,51%* en cumulé sur 10 ans

+44,54%* sur 5 ans

+4,09%* sur 3 ans

+4,18%* sur 1 an (+4,31%* en 2023)

+7,43%* depuis le 1er janvier 2024



Sur ces principaux horizons d’investissement, le fonds surperforme nettement sa catégorie d’investissement, notamment sur dix ans.

En plus de ses excellentes performances historiques, sa volatilité est raisonnable pour un support composé en partie de valeurs du luxe : 16,48% sur un an et 18,71% trois ans. MorningStar estime toutefois que son risque est supérieur à la moyenne sur tous les horizons d’investissement, par rapport à sa catégorie d’investissement.

* Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. L'investissement en actions, obligations ou OPCVM présente un risque de perte en capital important, et doit s’envisager dans une optique long terme, en représentant une petite partie d’un patrimoine global. Contrairement au fonds en euros, la valeur de ces supports, qui reflète la valeur d’actifs sous-jacents, n’est pas garantie mais est sujette à des fluctuations à la hausse ou à la baisse, dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers.


Un commentaire ? Faites-le en répondant simplement à ce mail
                               
VOUS AIMEZ CETTE NEWSLETTER ?

Partagez-la avec vos amis. Inscrivez-les tout de suite, gratuitement, à notre newsletter.

Ils ne devraient pas vous en vouloir..
C'est simple et rapide. Cliquez
ici


Voilà, c’est tout ! Bonne journée

Retrouvez tous les
"Petit délire d'actualité" ici