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17.02.2025
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Avec Trump, le prix des métaux s’envole. Comment en profiter ?
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Trump
fait flamber les métaux ! Ses nouvelles taxes douanières à peine
annoncées, le marché des métaux s’affole. Une simple annonce, et c’est
l’emballement. Acier, aluminium, cuivre, or… Les traders anticipent, et
les prix s’envolent. Découvrez comment investir facilement sur les
métaux et sur l’or pour profiter de la forte hausse de leur prix.
Les métaux flambent
Les États-Unis, victimes de leurs propres taxes.
Les marchés des matières premières sont des marchés d’anticipation. Et
cette fois encore, le mécanisme est implacable : avant même leur
application, les taxes Trump font grimper les prix. Aux États-Unis,
c’est la ruée. Les acheteurs professionnels se jettent sur l’aluminium
et l’acier pour éviter la hausse à venir. Résultat, le prix de
l’aluminium flambe atteint son plus haut depuis 2022, avec une envolée
totale de 60% depuis l’élection de Trump.
Le cuivre n’est même pas encore concerné par les nouvelles taxes, mais
ça n’empêche pas le marché d’anticiper. Aux États-Unis, sa prime
dépasse les 800 dollars la tonne par rapport au prix de Londres, un
record depuis 2020. Pendant ce temps, en Europe, les prix baissent
légèrement, les investisseurs pariant sur une offre excédentaire une
fois les taxes en place.
L’or, grand gagnant des incertitudes.
Dans ce climat d’incertitude, une valeur refuge refait parler d’elle :
l’or. À chaque crise, son tour de gloire. Alors que les investisseurs
redoutent l’effet domino des taxes, la relique barbare s’approche
dangereusement de la barre symbolique des 3 000 dollars l’once. Et si
la bataille commerciale s’intensifie, cette cible pourrait être
pulvérisée.
Un effet domino qui inquiète l’industrie minière.
Les déclarations de Trump ne font pas que des heureux. Dans l’amont de
la chaîne, l’industrie minière tire la sonnette d’alarme. Duncan
Wanblad, patron d’Anglo American, l’assure : ces taxes vont renchérir
les coûts d’extraction, et pour longtemps. Moins de visibilité, plus de
volatilité, et une inflation durable sur les matières premières. En
clair, le secteur minier aurait bien aimé se passer des éclats de voix
du milliardaire. Mais Trump ne fait jamais dans la demi-mesure. Et les
marchés non plus.
Pour investir efficacement dans les métaux, l’or et les minières, privilégiez l’assurance-vie.
Investir avec les etf
Les métaux, c’est la matière première de l’économie.
Sans eux, pas d’industrie, pas de transition énergétique, pas
d’électronique. Et l’or, lui, c’est LE refuge ultime, celui qui
traverse les crises sans prendre une ride. Alors pourquoi se priver de
ces actifs stratégiques ? La question, c’est comment y investir
intelligemment.
Les ETF, la solution simple et efficace.
Acheter de l’or physique, c’est bien. Mais entre les coûts de stockage
et la fiscalité, ça peut vite devenir un casse-tête. Idem pour les
métaux industriels comme le cuivre ou le lithium : impossible à stocker
chez soi. La solution ? Les ETF. Ces fonds cotés en Bourse permettent
d’investir directement dans l’or ou dans un panier de métaux
stratégiques, sans les contraintes logistiques. Un clic, et vous êtes
exposé aux prix du marché mondial.
Des opportunités en or (et en cuivre, en nickel, en lithium…).
L’or tutoie des records historiques. Le cuivre, dopé par la transition
énergétique, pourrait exploser dans les années à venir. Le lithium ?
Indispensable aux batteries des véhicules électriques. Avec les ETF,
vous profitez de ces tendances sans avoir à gérer les détails
techniques.
Dans un monde incertain, où l’inflation rôde et où les tensions
géopolitiques font trembler les marchés, les métaux sont plus que
jamais une arme de diversification. Et les ETF, le moyen le plus simple
d’y accéder.
Investir dans les minières
Créé en mars 1994, le fonds AXA Or et Matières Premières
cible de grandes entreprises minières au niveau mondial, principalement
issues des États-Unis, du Canada, d’Afrique du Sud et du Royaume-Uni.
Ce fonds actions bénéficie du fort rebond des minières cotées en Bourse, stimulé par les performances de l’or qui génèrent de meilleures marges et des bénéfices croissants
pour ces entreprises spécialisées dans son extraction. Contrairement à
l’achat d’or physiques, ces entreprises génèrent des revenus (ratio PER
moyen autour de 25), et versent souvent des dividendes (1 à 2%).
Mais surtout, l’investisseur table sur leur appréciation en Bourse dans
le sillage des cours du métal précieux. Investir dans les minières
permet ainsi de combiner les avantages des actions (revenus, potentiel
de hausse à long terme) avec ceux de l’or (diversification, protection
contre les crises, etc.).
Comme tout fonds d’investissement sectoriel, ce support d’AXA offre à l’investisseur français une meilleure diversification de son portefeuille, avec un horizon d’investissement de long terme.
Quelle est son exposition géographique ?
En portefeuille, on retrouve les principaux exploitants de mines d’or
au niveau mondial, cotés en Bourse : Newmont, Agnico-Eagle, Barrick
Gold, Wheaton Precious Metals et Franco-Nevada.
Dans le détail, voici ses performances sur les principaux horizons d’investissement, à la clôture du 11 février :
+412,79%* en cumulé depuis son lancement en mai 2003
+112,35%* sur 10 ans
+69,46%* sur 5 ans
+30,03%* sur 3 ans
+18,10%* depuis le 1er janvier 2025
Sur tous ces horizons de placement, le fonds surperforme nettementsa
catégorie d’investissement (les actions des secteurs matières
premières, or, énergie) selon les médias financiers indépendants
MorningStar et Quantalys.
MorningStar estime que le risque du support est supérieur à la moyenne sur tous les horizons d’investissement,
par rapport à sa catégorie d’investissement. Sa volatilité sur les
douze derniers mois ressort à 20,94% et à 23,21% sur trois ans.
* Performance net de frais de
gestion, hors fiscalité. Performance calculée en prenant l’hypothèse
d’un maintien de la performance du fonds en euros en 2024. Les
performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne
sont pas constantes dans le temps. L'investissement en actions,
obligations ou OPCVM présente un risque de perte en capital important,
et doit s’envisager dans une optique long terme, en représentant une
petite partie d’un patrimoine global. Contrairement au fonds en euros,
la valeur de ces supports, qui reflète la valeur d’actifs sous-jacents,
n’est pas garantie mais est sujette à des fluctuations à la hausse ou à
la baisse, dépendant en particulier de l’évolution des marchés
financiers. Les travailleurs non-salariés (TNS) profitent pour leur part d'un plafond de : 10 % de la fraction du bénéfice
imposable dans la limite de 32 909 euros en 2021 (montant égal à 80 %
du Plafond annuel de la sécurité sociale) + 15 % de la fraction de ce
bénéfice comprise entre une et huit fois le PASS de l'année N, soit 43
193 euros en 2021. Le plafond global se situe ainsi à 76 102 euros. Le
plafond minimum pour les TNS se situe à 4 114 euros. Ces plafonds de déduction peuvent
être relevés par le rattrapage des plafonds non utilisés au cours des
trois années précédentes. Les plafonds de déduction peuvent également
être mutualisés entre conjoints.
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